mardi 3 novembre 2020




Activités automnales qui causent la dorsalgie

L’arrivée de l’automne marque un changement dans la couleur des feuilles, dans nos activités et dans nos tâches domestiques : il faut sortir l’énorme citrouille d’Halloween de l’auto ou ramasser les feuilles. Dans votre enthousiasme et votre volonté de tout terminer à temps, n’oubliez pas votre dos.

On a souvent tendance à se lancer dans une tâche ou une activité sans penser à son dos, ce qui augmente les risques de raideurs et de douleurs. C’est pourquoi nous avons votre dos à cœur ! Vous trouverez ci-dessous quelques activités automnales qui exigent certaines précautions et des conseils pour rester actif et en santé durant toute la saison.

Ramassage des feuilles

Qui n’a pas déjà ressenti des douleurs et des raideurs après une longue journée à ramasser les feuilles et à se pencher pour les mettre dans des sacs. C’est une activité éprouvante qui exerce une grande tension sur le dos. Il faut pourtant la faire. Prenez garde à votre dos lorsque vous vous y attaquerez.

·        -Prenez de fréquentes pauses et faites des étirements doux

·        -Si vous ressentez une douleur aigüe, arrêtez pour la journée

·        -Échauffez-vous bien avant de commencer

·        -Lorsque vous soulevez des sacs de feuilles ou de vidanges, utilisez la bonne technique afin de garder le dos en position neutre et divisez les charges lourdes en plus petites


Cueillette des pommes / Transport des citrouilles

L’automne, c’est aussi la saison de la cueillette de pommes en famille et de la décoration de citrouilles. Bien que ces activités soient agréables et vous fassent bouger, n’oubliez pas qu’elles peuvent aussi être dures pour le dos. Avant de soulever des caisses de pommes ou de soulever la plus grosse citrouille du champ, pensez à votre dos :

·        -Assurez-vous de soulever correctement les charges

·        -Vous voulez placer une énorme citrouille sur votre perron ? Faites-vous aider par un ami ou un membre de la famille pour la transporter jusqu’à l’auto

·        -Avant toute chose, faites quelques exercices d’étirement tout simples pour vous délier les muscles et articulations

 

Randonnées automnales

Il n’y a rien de plus agréable qu’une longue promenade par une fraîche journée d’automne. Profitez des belles journées pour aller admirer les couleurs de l’automne. Si vous prévoyez une longue randonnée, vous aurez sans doute besoin d’eau, de collations et d’articles de premiers soins. N’oubliez pas non plus de faire des exercices d’échauffement et d’étirement avant de partir.

 

Tâches domestiques

Le temps devient frisquet ! C’est le temps de sortir les gros chandails et les couvertures chaudes. En plus des tâches domestiques courantes, vous aurez aussi d’autres travaux à effectuer en prévision de l’hiver, comme le nettoyage des gouttières. Ces tâches saisonnières constituent des heures d’activité physique à l’extérieur, ce qui est excellent. Toutefois, comme elles sont occasionnelles, votre corps n’est peut-être pas prêt à travailler autant durant de longues périodes.

 

De façon générale, la meilleure façon d’éviter les douleurs au dos liées à vos activités courantes consiste à vous échauffer et à vous étirer. Et si vos tâches et activités de l’automne provoquent des douleurs au dos, consultez votre chiropraticien ou chiropraticienne ou prenez rendez-vous au 514-336-7500.

 Source texte : Canadian Chiropractic Association



Fall activities that can cause back pain

Just as the leaves change during the fall season, so do our activities and household chores. Whether you are hauling big pumpkins in and out from your car for Halloween carving or raking the leaves in your yard – It is important to be mindful of your back during the excitement and hard work you commit.

We may not think about our backs before starting any given activity, putting us at greater risk for pain and discomfort. But, don’t worry, we have your back! We’ve listed some fall activities to be aware of that may increase your risk of back pain and some helpful tips to keep you healthy and active this season.

Raking Leaves

This one is probably a given, many of you have probably experienced pain or discomfort after a long day of raking leaves and bending over to pack them into bags. It can be a very strenuous activity and can put a lot of stress on your back. However, it’s a task that cannot be ignored. When you do start raking those leaves, be mindful of your back.

·        -Take frequent breaks and do gentle stretches


·        -If you feel a sharp pain in your back, stop for the day

·        -Make sure you warm-up before you begin

·        -When lifting bags of waste or leaves make sure you are lifting correctly keeping a neutral spine and carry smaller, manageable loads


Apple Picking / Hauling Pumpkins

The fall season is a wonderful time to go apple picking with your family or pick a festive pumpkin for your home. Though these activities are fun and get you moving, it is important to think about the potential strain you may be putting on your back. Before you lift a crate of apples or pick out the heaviest pumpkin in the patch, consider your back:

·        -Make sure you are lifting correctly

·        -Want that extra-large pumpkin for your front porch? Ask your family or friend for help to carry it to your car

·        -Do a few easy stretches beforehand to loosen up your muscles and joints

 

Fall Hikes

There’s nothing like a long hike outdoors on a crisp fall day. Enjoying all the colours the fall season has to offer, it is very enticing to spend nice days outdoors enjoying the sights. If you plan on taking an extended hike, you are likely going to be bringing along a backpack full of water, snacks and first aid supplies. Don’t forget to warm-up and stretch before you set off on your hike as well.

 

Indoor Housework

It’s time to bring out the warm fuzzy sweaters and heavy blankets to keep warm! Besides doing basic housework, you may even be doing some extra work around the house to get ready for winter such as clearing out the gutters. Spending hours doing seasonal work around the house can be a great way to get moving. However, since many of us only do these on occasion, your body may not be ready to perform all the tasks for extended periods of time. 

A good way to prevent back pain from occurring during everyday activities is to make sure you have stretched and warmed up. If you do experience pain after some of the activities we mentioned before, be sure to visit your chiropractor for a consultation or make an appointment at 514-336-7500.

 Text source : Canadian Chiropractic Association






 

mardi 27 octobre 2020


Le guide ultime des sacs à dos (quoi rechercher et comment bien les porter)

Chaque jour, les enfants et les adolescents transportent des manuels scolaires, des cartables, des ordinateurs portables et des repas, dont le poids peut vite grimper.

Une enquête menée par CNN à Atlanta, en Géorgie, a révélé que les élèves portaient jusqu’à onze kilos dans leur sac à dos. Ceci est important parce que les recherches suggèrent que les sacs à dos ne devraient pas représenter plus de 10 % du poids corporel de la personne qui les porte. Si un étudiant de 17 ans, par exemple, pèse en moyenne soixante kilos, son sac à dos ne devrait peser que six kilos.

Pourquoi le poids des sacs à dos est-il important? 

Bien que d’autres recherches soient nécessaires, des études montrent qu’une mauvaise utilisation des sacs d’école peut entraîner des malaises et des changements de posture. Il est important de noter que le port d’un sac à dos n’entraîne pas en soi des maux de dos.

« Si un sac à dos a un poids raisonnable et est correctement ajusté, un enfant ne le porte pas assez longtemps pour que cela entraîne des dommages à long terme », dit Michael Holmes, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en mécanique neuromusculaire et ergonomie.

Notre guide ultime des sacs à dos vous fournira une liste complète de caractéristiques à considérer lors de l’achat d’un sac à dos – ainsi que des conseils sur la façon de porter ces articles correctement.

Choisir le bon sac à dos

Voici quelques éléments à prendre en compte lors de l’achat d’un nouveau sac à dos :

1- Une sangle de taille : Le poids du sac est ainsi réparti plus uniformément.

2-  2- Bretelles larges et rembourrées : Trop de poids sur les épaules et le cou peut nuire à la circulation sanguine.

3-  3- Dos rembourré : Cela protège des objets de forme irrégulière dans le sac.

4-  4- Compartiments : Les compartiments répartissent le poids de façon plus uniforme.

Porter correctement un sac à dos

Posez-vous les questions suivantes pour évaluer si un sac à dos est porté correctement:

·        -Le sac à dos est-il raisonnablement proportionnel à la taille de la personne?

·        -Le fond du sac se trouve-t-il au niveau de la taille?

·        -Le sac pèse-t-il plus de 10 % du poids de la personne?

·        -La personne porte-t-elle les deux bretelles?

·        -La personne peut-elle marcher normalement avec le sac à dos, ou est-elle voutée/essoufflée?

 En achetant le bon sac à dos et en le portant correctement, vous pouvez minimiser l’inconfort et les mauvaises habitudes posturales. Mais si vous ou votre enfant avez des douleurs préexistantes au dos, aux épaules ou au cou, parlez-en à un chiropraticien dès aujourd’hui ou prenez rendez-vous au 514-336-7500.

 Source texte : Canadian Chiropractic Association


The ultimate guide to backpacks (what to look for and how to wear them properly)

In any given day, children and adolescents carry textbooks, binders, laptops and school lunches – and the weight can add up.

A CNN investigation carried out in Atlanta, Georgia found that students were carrying up to eleven kg of weight in their backpacks. This is significant because research suggests that backpacks should be no more than 10% of the wearer’s body weight.  If a 17-year-old student, for example, weighs an average of sixty kilos, their backpack should only weigh six kilos.

Why does the weight of backpacks matter? 

While more research is needed, studies show that the incorrect use of school bags may lead to discomfort and changes in posture. It’s important to note that wearing a backpack does not by itself lead to back pain.

“If a backpack has a reasonable amount of weight in it and fits correctly, children are not wearing it long enough for long-term damage to occur,” says Michael Holmes, Canada Research Chair in Neuromuscular Mechanics and Ergonomics.

Our ultimate guide to backpacks will provide a comprehensive list of items to consider when shopping for a backpack – as well as tips on how to wear them correctly.

Choosing the right backpack

Here are some items to look for when considering a new backpack:

1-1- A waist strap: This distributes the weight of the bag more evenly.

2-2- Wide, padded shoulder straps: Too much weight on the shoulders and neck can impair circulation.

3-3- A padded back: This protects from oddly shaped objects in the bag.

4-4- Compartments: Like a waist strap, compartments distribute weight more evenly.

Wearing a backpack correctly

Ask yourself the following questions to assess whether a backpack is being worn correctly: 

·        -Is the backpack reasonably proportional to the size of the person?

·       -Does the bottom of the bag sit at waist level?

·        -Does the bag weigh more than 10% of the person’s weight?

·        -Is the person wearing both shoulder straps?

·        -Can the person walk normally with the backpack on, or are they slouched over/breathing heavily?

By purchasing the right backpack and wearing it correctly, you can minimize discomfort and poor posture habits. However, if you or your child have pre-existing back, shoulder, or neck pain, talk to a chiropractor today or make an appointment at 514-336-7500.

Text source : Canadian Chiropractic Association



mardi 22 septembre 2020

 



Les six mythes les plus tenaces sur la chiropratique 

Bon nombre de Canadiens se posent encore des questions sur le rôle des chiropraticiens au sein d’une équipe de soins et sur les bienfaits du traitement chiropratique pour la santé. Vous pouvez toujours trouver un chiropraticien dans votre communauté pour discuter de vos besoins particuliers, mais nous tenons aujourd’hui à déboulonner certains mythes bien ancrés : 

1. Si vous commencez à voir un chiropraticien, vous devez continuer sans arrêt
 Faux. Lorsque vous consultez un chiropraticien, il procède à une évaluation, qui comprend vos antécédents et un examen physique, afin de déterminer la cause de votre douleur ou dysfonctionnement. À la lumière de ces observations, il pose un diagnostic et élabore un plan de traitement qui tient compte de vos besoins et objectifs. Ce plan de traitement recommandé comporte un nombre initial de consultations qui permettent de voir si vous répondez bien au traitement et d’effectuer des réévaluations périodiques. Selon le patient et le problème, la durée du traitement recommandé varie. Mais, ultimement, c’est vous qui décidez de poursuivre ou pas. En tant que patient, si vous avez des questions ou des préoccupations sur le traitement conseillé, vous ne devez pas hésiter à les aborder avec votre chiropraticien. Le plan de traitement doit être le fruit d’une décision partagée entre le patient et le praticien. 

2. Les chiropraticiens ne sont pas de « vrais » docteurs
 Tout comme les médecins, les optométristes et les dentistes, les chiropraticiens sont membres d’une profession réglementée dans les dix provinces et sont autorisés à porter le titre de « docteur » aux termes d’un programme de formation rigoureux de docteur en chiropratique. Les professionnels agréés comme « docteur » ont suivi une formation exhaustive dans leur domaine d’expertise qui les autorise notamment à poser un diagnostic. 

3. Pour consulter un chiropraticien, il faut d’abord voir un médecin 
Dans toutes les provinces du Canada, les chiropraticiens sont des professionnels de première ligne, ce qui signifie que vous pouvez les consulter directement. Les chiropraticiens possèdent une solide formation de diagnosticien. À ce titre, ils effectuent un examen complet qui leur permet de poser un diagnostic ou de formuler des impressions cliniques. Selon le résultat, le chiropraticien vous présente un programme de traitement ou vous dirige vers un autre professionnel de la santé. Toutefois, dans le cadre de certains régimes complémentaires, votre assureur peut exiger que vous soyez dirigé en chiropratique par un médecin. 

4. Il n’existe aucune preuve de l’efficacité de la chiropratique 
On remet parfois en question l’efficacité du traitement chiropratique. Or, des chercheurs issus de la chiropratique et d’autres professions ont mené beaucoup d’études pour rassembler des données probantes qui témoignent de l’effet des thérapies manuelles sur les problèmes musculosquelettiques. Ainsi, on a démontré l’efficacité de la manipulation vertébrale et articulaire dans des cas de problèmes musculosquelettiques aigus et chroniques comme la dorsalgie. En fait, en cas de dorsalgie, la manipulation vertébrale est recommandée comme intervention de première ligne dans les guides de pratique clinique du Groupe de travail de la Décennie des os et des articulations, de l’American College of Physicians, de l’American Pain Society et du Britain’s National Institute of Health and Care Excellence. 

5. Les chiropraticiens ne peuvent traiter que les douleurs dorsales 
Les chiropraticiens sont des experts en santé musculosquelettique qui sont formés pour évaluer, diagnostiquer, traiter et prévenir les problèmes biomécaniques de nature musculaire, squelettique et nerveuse. Outre son efficacité dans le traitement des troubles musculosquelettiques liés à la colonne, on a également démontré ses bienfaits dans le traitement des membres, des céphalées et même de l’articulation temporomandibulaire (ATM). Les chiropraticiens peuvent également vous prodiguer des conseils sur les habitudes de vie – nutrition, condition physique, ergonomie, etc. – qui contribuent au traitement et à la prévention de nombreux problèmes de santé. La santé de votre système musculosquelettique ne se limite pas à la santé de la colonne vertébrale; pour mener une vie saine et harmonieuse, vous devez prendre pleinement conscience de votre santé! 

6. L’ajustement est douloureux 
En général, un ajustement ou une manipulation articulaire ne provoque pas de douleur. En fait, de nombreux patients font état d’un soulagement immédiat. Certains patients peuvent être nerveux en raison du « craquement » ou du petit bruit sec qui se produit parfois durant un ajustement. Il semble que ce soit le résultat du relâchement d’une bulle de gaz de l’articulation – comme le craquement des articulations des jointures! 

Il est important de poser des questions sur votre santé et sur le choix des traitements qui s’offrent à vous. En matière de soins, nous sommes partenaires. En effet, votre participation est essentielle pour que nous puissions vous offrir des soins optimaux qui répondent à vos objectifs. En tant que professionnels, nous devons cerner l’information dont vous avez besoin pour prendre des décisions éclairées. Nous avons besoin de votre opinion ! Si vous avez d’autres questions sur la chiropratique, consultez un chiropraticien de votre région. Et pour en savoir plus sur le déroulement d’un premier traitement chiropratique, regardez nos vidéos en ligne. 

Source texte: Canadian Chiropractic Association 




The top 6 common myths about chiropractic treatment 

Many Canadians continue to have questions about the role that chiropractors play in the healthcare team, and what benefit chiropractic care may have to their health. While you can always find a chiropractor in your community to discuss your specific needs, today we’re busting some commonly shared chiropractic myths: 

1. Once you see a chiropractor you have to keep going back 
This is false. When seeking care from a chiropractor, we will perform an assessment including a history and physical examination to determine the cause of the pain or dysfunction. From these observations, a diagnosis will be made and the treatment plan developed in collaboration with the patient – according to their needs and goals. The treatment plan will recommend a number of initial visits to see if the patient responds to care and scheduled re-evaluations. Depending on the patient and the condition, the recommended course of care may vary. Ultimately, the decision to continue care is yours. As a patient, if you have questions or concerns about care, you should feel comfortable to ask the chiropractor for more information on the recommendations made and address any concerns. The care plan should be part of a shared decision-making between the patient and practitioner. 

2. Chiropractors are not ‘real’ doctors 
Chiropractors are regulated in all 10 Canadian provinces, and are designated to use the title “doctor” similar to physicians, optometrists and dentists after completing the extensive Doctor of Chiropractic degree program. Those professions who are recognized to use the “doctor” title have extensive training in their area of expertise that allows them to be diagnosticians – to provide a diagnosis. 

3. A medical doctor must refer you to a chiropractor In all provinces in Canada, chiropractors are primary contact providers, which means you can access them directly. Due to the extensive training of chiropractors as diagnosticians, chiropractors will perform a comprehensive assessment to help determine a diagnosis or clinical impressions. Depending on the outcome, the chiropractor can discuss a course of care or refer to another healthcare professional, as needed. However, in some cases, you may need a referral to access coverage depending on your benefits provider. 

4. There is no evidence to support the effectiveness of chiropractic care 
Chiropractic treatment is at times questioned on its effectiveness. Yet, the chiropractic profession and others have invested significant resources to build a robust body of evidence studying the impact of manual therapies on musculoskeletal conditions. For example, spinal and joint manipulation has been shown to be effective treatment for acute and chronic musculoskeletal conditions, like back pain. In fact, spinal manipulative therapy (SMT) is recommended as first line intervention for back pain in numerous clinical practice guidelines including the Bone and Joint Decade Task Force, the American College of Physicians and American Pain Society as well as Britain’s National Institute of Health and Care Excellence. 

5. Chiropractors can only treat back pain 
Chiropractors are musculoskeletal experts and are trained in assessing, diagnosing, treating and preventing biomechanical disorders that originate from the muscular, skeletal and nervous system. In addition to the evidence that supports chiropractic care in managing musculoskeletal complaints of the spine, there is also evidence that it supports chiropractic management of the extremities, headaches and even TMJ pain. Chiropractors are also able to provide lifestyle counselling about nutrition, fitness and ergonomics among others that may be useful in managing or preventing a variety of health conditions. The health of your musculoskeletal system doesn’t just start with a healthy spine, you need to be fully aware of your health to maintain a well-rounded healthy lifestyle! 

6. Adjustments are painful
In general, adjustments or joint manipulations do not hurt. In fact, many patients report immediate pain relief. Patients may be nervous about the ‘cracking’ or popping sound that may occur during an adjustment. The sound is believed to result from the release of gas bubbles from the joint – similar to cracking your knuckles! 

Asking questions about your health and treatment options is very important. You are a partner in your care and your participation is critical to helping us provide the best care to meet your goal. If you have any questions beyond this blog about chiropractic treatment, visit a chiropractor in your area. 

Text source: Canadian Chiropractic Association 





jeudi 20 août 2020

Conseils sur la sécurité à vélo


 

Conseils sur la sécurité à vélo

Le soleil est au rendez-vous: c’est le moment de l’année idéal pour une balade à vélo. Nous avons la chance de profiter de formidables pistes cyclables dans tout le Québec. Mais avant de vous lancer sur les pistes, il est important de lire quelques conseils de sécurité pour éviter les blessures.

Portez un casque

Il est fortement recommandé de porter un casque bien ajusté pour réduire le risque de blessure permanente en cas de chute. Mais comment savoir si votre casque est bien ajusté? Posez-vous les questions suivantes :

- Le casque tient-il bien sur votre tête, sans se déplacer d’un côté à l’autre ou d’avant en arrière?

- Reste-t-il en place lorsque vous secouez la tête?

- Le casque repose-t-il sur votre front, au-dessus de vos sourcils, sans vous incommoder?

- Les sangles sont-elles bien ajustées, et le réglage de la boucle jugulaire vous permet-il d’ouvrir la bouche?

En vous posant ces questions, vous pouvez vous assurer que votre tête sera protégée en cas de choc éventuel.

Regardez derrière vous

Faire du vélo n’est pas si différent de conduire une voiture : dans les deux cas, il faut partager les voies de circulation. Avant de tourner, n’oubliez pas de regarder derrière vous afin de ne pas couper la route à des véhicules ou à des piétons. Assurez-vous d’avoir conscience de votre environnement en tout temps afin d’éviter les collisions.

Utilisez des feux et des réflecteurs

Si vous prévoyez faire du vélo en soirée ou tôt le matin, assurez-vous d’être visible en ayant des déflecteurs avant et arrière. N’oubliez pas que vous partagez la route avec d’autres véhicules et qu’ils doivent être en mesure de vous voir en tout temps.

Roulez en confiance

Plus vous avez confiance en vous, plus vous maîtriserez la situation sur la route. Mais comment gagner en confiance? Il faut s’entraîner, s’entraîner, et encore s’entraîner. Essayez de faire du vélo sur des sentiers ou dans des rues tranquilles avant de vous aventurer dans des intersections achalandées. De cette façon, vous renforcerez votre mémoire kinesthésique et vous vous sentirez plus à l’aise. Il est essentiel d’être dans un bon état d’esprit!

Assurez-vous que votre selle est bien réglée

Une selle bien ajustée peut tout changer, surtout si vous ne trouvez pas votre vélo confortable ou si vous souffrez de douleurs au genou. Votre selle se trouve à la hauteur idéale lorsque vos genoux forment un angle de 25 degrés. Cela permet d’éviter les blessures et augmente l’efficacité de vos mouvements.

Entraînez-vous à faire les signaux appropriés avec vos mains

Rouler en vélo implique de partager la route avec d’autres cyclistes et automobilistes. La plupart des véhicules possèdent des dispositifs de signalisation qui permettent d’avertir les autres conducteurs en cas de virage, de changement de voie ou d’arrêt complet du véhicule. Les cyclistes, en revanche, doivent signaler ces comportements avec leurs mains. Prenez le temps de vous exercer à faire ces signaux avec vos mains, car ils sont indispensables pour que les conducteurs et les autres cyclistes comprennent vos intentions.

Le vélo est un excellent moyen de sortir, de profiter du grand air et de rester physiquement actif. Grâce à ces conseils, vous pouvez avoir l’esprit tranquille : vous avez maintenant les connaissances nécessaires pour circuler en toute sécurité durant l’été. 

Pour d'autres conseils sur la sécurité à vélo, demandez à votre chiropraticien ou prenez rendez-vous au 514-336-7500.

Source: Canadian Chiropractic Association



Cycling safety tips

The sun is out which makes it the perfect time of year to take your bike out for a spin. We’re fortunate to have stunning bike routes all around Quebec province. But before hitting the trails, it’s important to read up on some safety tips to avoid injury.


Wear a helmet

It is strongly recommended that you wear the right helmet to reduce the risk of permanent injury if you fall. But how do you know you’ve got the right helmet? Ask yourself these questions:
• Does the helmet fit firmly on your head, without wobbling from side to side or backwards and forwards?
• Does it stay in place when you shake your head?
• Does the helmet sit comfortably on your forehead, above your eyebrows?
• Do the straps feel tight and is the chin strap snug when you open and close your mouth?


By asking yourself these questions, you can ensure that your head is protected from potential impact.


Look over your shoulders

Riding a bike is similar to driving a car in the sense that both involve sharing the road. Before making any turns, make sure you look over your shoulder for any oncoming traffic or pedestrians. It’s important to be aware of your surroundings at all times to avoid any unwanted collisions.


Use lights and reflectors

If you’re planning on cycling in the evenings or early mornings, make sure to be visible. Make sure to have front and rear reflectors on your bike. Don’t forget that you are sharing the road with other motorists and you need to be seen at all times.


Bike with confidence

The more confident you are, the more deliberate you will be in your actions on the road. But how do you become more confident? Practice, practice, practice. Try cycling on trails or quiet streets before venturing through busy intersections. That way you’ll build muscle memory and feel more self-assured. Mindset is everything!


Make sure your seat is aligned

A properly-aligned seat can make a world of difference, especially if you’re struggling with discomfort or knee pain. The perfect seat height is achieved when your knees are at a 25-degree angle. This prevents injuries and increases efficiency as you pedal.


Practice proper hand signals

Riding a bike means sharing the road with other cyclists and motorists. Most vehicles have signals that alert other drivers when turning, changing lanes, or coming to a full stop. Cyclists, however, rely on their hands to make these signals. Take the time to practice essential hand signals so that drivers
and fellow cyclists are aware of your intentions.

Cycling is a great way to get outside, enjoy the fresh air, and stay physically active. With these tips, you can feel confident that you have the know-how to cycle safely this summer.

For more safety tips, speak with your chiropractor or book an appointment: 514-336-7500.


Source texte: Canadian Chiropractic Association


mardi 4 août 2020

9 avantages à faire de l’exercice dans l'eau



9 avantages à faire de l’exercice dans la piscine, le lac ou la mer

L’été est là et les activités aquatiques battent leur plein. Que ce soit dans un lac près de chez vous, à la plage ou dans une piscine, parlons un peu des exercices que vous pouvez faire dans l’eau et de leurs bienfaits.

Voici neuf avantages à faire de l’exercice dans l’eau (le meilleur exercice étant la natation) :

1. Vos articulations sont moins sollicitées : L’eau vous donne une poussée hydrostatique – autrement dit, vous flottez! Cela réduit l’impact sur vos articulations, ce qui fait que lorsque vous nagez ou faites de l’exercice dans l’eau, vous risquez moins de vous blesser.

2. Vous souffrez moins de la chaleur : L’entraînement peut causer des coups de chaleur, particulièrement en plein été. En faisant vos exercices dans l’eau, vous évacuez la chaleur plus rapidement et êtes moins susceptible de « surchauffer ». Si l’eau est chaude, vous ne pourrez pas tellement vous rafraîchir, mais votre circulation sanguine sera meilleure, ce qui est souhaitable quand on fait de l’exercice.

3. L’eau offre un degré de résistance : Comme vous pratiquez vos mouvements dans l’eau plutôt que dans l’air, vous travaillez plus fort. Cette résistance est idéale pour développer votre force globale et votre endurance. 

4. Vous pouvez ajuster la résistance : Selon votre vitesse, votre position et votre forme dans l’eau, la résistance à laquelle vous faites face varie. Par exemple, plus vos mouvements de nage sont
hydrodynamiques, plus vite vous irez et moins la résistance sera grande. En revanche, si vous faites du jogging ou de la course dans l’eau, en particulier si vous avez de l’eau au-dessus de la taille, la résistance sera beaucoup plus importante (ce genre d’exercice est souvent conseillé si vous voulez améliorer votre vitesse de course, votre force et votre endurance sur la terre ferme).

5. C’est de plus en plus facile avec le temps : Mieux vous maîtrisez les techniques de nage, plus vous glissez efficacement dans l’eau, ce qui vous permet de dépenser moins d’énergie et d’efforts tout en allant plus vite. La bonne nouvelle, c’est que plus vous pratiquez et conditionnez votre corps, plus la natation devient facile.

6. Vous pouvez intégrer des pauses : Vous n’avez pas besoin d’interrompre vos exercices dans l’eau pour donner une pause à votre corps durant un entraînement. Si vous nagez, vous pouvez
ajouter des « mouvements de repos », comme la marinière (nage sur le côté) ou le dos crawlé, pendant une minute ou deux (ou une longueur ou deux dans la piscine) jusqu’à ce que vous ayez récupéré.

7. Vous pouvez augmenter graduellement l’intensité : L’avantage de la natation, c’est que vous pouvez apporter des changements graduels à votre routine sans grande difficulté.
Augmentez simplement le temps que vous passez à nager, de façon constante, et faites des pauses plus courtes – ou encore remplacez vos pauses par des mouvements de repos (voir le conseil n o 6).

8. C’est idéal pour maintenir la souplesse des articulations et raffermir les muscles : Étant donné le faible impact de l’exercice dans l’eau, vos articulations restent souples. De plus, compte
tenu de la résistance qu’offre l’eau, vous gardez vos muscles bien fermes.

9. Tout votre corps est soutenu : Non seulement l’exercice dans l’eau est à faible impact, mais il est excellent pour le soutien. Votre dos vous dira merci! En effet, vous n’avez pas à vous soucier du
poids qu’exerce votre corps sur votre colonne, ni de votre posture lorsque vous vous déplacez dans l’eau. Si vous n’êtes pas un adepte de la natation, vous pouvez quand même effectuer des exercices légers dans l’eau : entraînez-vous à marcher dans la piscine, avec de l’eau jusqu’à la taille, pour relâcher la pression sur vos articulations et votre dos tout en faisant des mouvements.

Chassez la pression en allant à la piscine ou à la plage, et sautez à l’eau! N’oubliez pas qu’il faut bien s’hydrater lorsqu’on fait de l’exercice. Et si vous nagez à l’extérieur cet été, protégez-vous du soleil et de la chaleur.

Consultez votre chiropraticien pour savoir quels types d’exercices vous conviennent. 514-336-7500
Source texte: Canadian Chiropractic Association


9 benefits of getting your exercise in the
pool, lake, or ocean

Summer is well underway and water activities are in full-swing. Whether it’s at a nearby lake, beach, or swimming pool, it’s time to talk about water exercises and why they’re good for you.

Here are nine benefits of exercising (particularly swimming) in water:

1. There’s low impact on your joints: Water gives you buoyancy—i.e., you float! This decreases the impact on your joints, so when you swim or exercise in the water, you have a lower risk of injury.

2. It does a better job at keeping you cool: Working out can cause you to overheat, especially in the summer. Exercising in the water helps the body cool off faster and reduces the risk of overheating. If the water is warm, it may not help keep you cool, but it does help increase blood circulation, which is a plus when exercising.

3. Water has built-in resistance: Because you’re moving your body through water instead of through air, you’re working harder. This resistance is great for building all-around strength and endurance.

4. You can adjust the resistance: Depending on your speed, position, or form in the water, the resistance you face is dynamic. For example, the more streamlined your swim stroke, the faster you’ll travel with less resistance. If you’re jogging or running in water, particularly if it goes higher than your waist, you’re getting much more resistance (this is often done if you’re training to improve your running speed, strength, and endurance when you’re on land).

5. It gets easier over time: The more knowledge and skill you have with respect to swimming, the more efficient your body becomes when moving through the water. This translates to less energy and effort exerted, and greater speed. The good news is that the more you learn, practice, and condition your body, the easier swimming will be.

6. You can incorporate rest: You don’t have to stop exercising in the water to give your body a rest during a workout. If you’re swimming, you can add resting strokes like sidestroke or elementary backstroke for a minute or two (or a lap or two in the pool) until you recover.

7. You can increase intensity slowly: The benefit of swimming is that you can make gradual changes to your routine without much effort. Simply increase the time spent swimming continuously and take shorter rest breaks—or replace your breaks with rest strokes (see tip #6) as you build up your swimming regime.

8. It’s great for keeping joints limber and toning muscles: Since exercising in the water is so low impact, your joints stay nimble. With the built-in resistance of the water, swimming is great for keeping your muscles toned.

9. It offers support for the whole body: Not only is exercising in the water low-impact, it’s also excellent for support. Bonus: it supports your back! You don’t have to worry about the weight of your body on your spine or your posture when you move your body through water. If you’re not a swimmer, you can still use the water for gentle exercise: do some walking workouts waist-deep in a swimming pool to take the pressure off your joints and back while still getting movement.

So, take the pressure off, hit up your local beach or pool, and go for a swim! Always remember to stay hydrated when you exercise. If you’re swimming outdoors this summer, be
sure to remember to be safe in the sun and heat.

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Source texte: Canadian Chiropractic Association